Saturday, February 25, 2012

La vie, la mort et d'autres questions philosophiques

Unele filme devin clasice. Devin o parte din societate, din cultura. Si numai timpul le da aceasta onoare. De ce? Pentru ca sunt universale? Pentru ca expun un adevar intemporal? Pentru ca ating acel nerv locomotor al universului? Nu, mai degraba, al inimii omenesti.

Pentru ca expun sangele care curge prin venele noastre sub forma lui cea mai pura si anume dorinta. Dorinta de a trai, dorinta de a crede, dorinta de a iubi. Dorinta si speranta. Oamenii tind spre acel sentiment atat de straniu care este speranta cu o disperare cumplita. Pentru ca, daca avem nevoie de viata, de Dumnezeu si de iubire, avem si mai mare nevoie de speranta care umple vidul lasat de dorintele noastre neimplinite. Marx spunea ca religia e opiumul popoarelor. A gresit. E speranta.

Speranta impaca mintea si inima prin singura arma pe care o are: tulburarea ratiunii. Si asa, intr-o pace aparenta, inima invinge, iar mintea abdica. Iar omul se imbata de speranta ignorand realitatea din jurul lui. Pentru ca realitatea e cruda si inumana. Pentru ca ea nu spune niciodata da. Nu spune nici nu. Isi pastreaza tacerea de fier si nepasatoare. Realitatea nu raspunde pentru ca nu are raspunsuri si nici seama de dat. Pentru ea, viata si moartea nu sunt decat niste fapte diverse continand la fel de multa importanta ca si vantul care susura printre frunze. Dar intre timp, inima continua sa spere in fata regatului care se destrama.

Nu ca ar schimba ceva daca noi speram sau nu. Tot ce schimba este felul in care traim. Lucizi sau orbi. In realitate sau in vis. Dar si oamenii lucizi au speranta lor si anume curajul.

Curajul nu este un sentiment. Este mintea care se impune asupra inimii. Deoarece inima tinde spre frica, o frica pe care ratiunea nu o poate intelege. Deci, curajul nu poate exista fara frica. Razboinicii care nu mai simt frica nu pot fi numiti curajosi. Curajul presupune o lupta interioara si o forta de spirit care invinge asupra instinctului de supravietuire sau din contra asupra instinctului de a se lasa infrans de obstacole. In ambele cazuri, frica este elementul care declanseaza curajului, iar ratiunea creatorul lui deoarece curajul presupune o alegere lucida care este absenta in actele care il prefac.

Aici ma gandesc la soldatii care merg la razboi fara sa fie constienti de toate consecintele deciziei lor. Sau la oamenii care isi centreaza viata in jurul iubirii sau a carierei sau a banilor fara sa se gandeasca la celelalte aspecte. Sau la idealistii care sunt gata sa moara pentru o cauza. Toate aceste alegeri sunt valide. Atata vreme cat ele purced dintr-un rationament lucid care a decis ca pentru nenea Georgel viata intr-o lume unde homosexualii nu au drept sa se casatoreasca nu merita sa fie traita si ca orice consecinta a activismului lui este preferabila acelei vieti. De aceea, sentimentul de curaj care de multe ori este indus de muzica grandilocventa, de fraze filozofice sau de presiunea sociala, nu este decat un impuls al inimii innecat in adrenalina.

El nu are nimic de a face cu adevaratul curaj care este mult prea des tradus in mod paradoxal prin fraza "nu am de ales". Nu am de ales pentru ca natura mea imi interzice fericirea in orice alt scenario decat acesta. Intr-un fel, existenta curajului presupune o cunoastere a propriei persoane si a lumii din jur, fie fizica sau sociala, care ne constrange in actiunile noastre. A fii curajos se traduce prin luarea unor decizi coerente cu natura noastra si acceptarea tuturor consecintelor care decurg. Curajul adapteaza speranta la realitate.

Cu toate astea, curajul pur este foarte rar. Pentru ca oamenii nu traiesc din ratiune, ci din sentimente. Poate ca e in natura umana sa tinda spre speranta deoarece luciditatea si curajul reprezinta un regim de armata pentru suflet. De asemenea, un om lucid si rational pare intr-un fel... inuman. Strainul lui Camus ne lasa cu un sentiment de absurditate si de neintelegere tocmai din cauza lipsei de emotii a personajului principal. Poate ca umanitatea se traduce prin sentimente iar ratiunea e doar un accesoriu care ne permite sa supravietuim. Un mecanism de adaptare la mediul inconjurator. Cameleonul isi schimba culoarea pielii, iar noi ne amelioram cunostintele sau aptitudinile in functie de nevoie. Iar in cazuri extreme, schimbam nevoia in functie de limitele noastre.

Saturday, February 18, 2012

Privacy... NOT!

Mircea Badea... e Mircea Badea! Cum mai ziceam, papagal, dar always funny hahaha!!



Lolll shaworma cu de toate!! Shaworma with all hahahaha!

Somewhat on the same topic, here's a column by Benoit Lefebvre (I simply love this guy!) that he calls Internet, le buffet all you can take but which I like to call Occupy the kitchen! haha.



Ça brasse sur l’internet. J’ai commencé à écrire ma chronique, la SOPA était en action. En plein milieu de l’écriture, oops, pu de SOPA pour tout de suite. Ça arrive. Comme l’autre fois : j’ai commencé à écrire, il neigeait pas. Puis un moment donné, oops, il neigeait. C’tu fou pareil. Heille, l’action dans ma vie toé.

La SOPA, Stop Online Piracy Act, c’est, comme ça le dit, une loi pour censurer les sites qui utilisent des images, des films, de la musique non libres de droits. Ça, c’est la grande ligne. Mais y a plus profond et complexe. C’est une chronique d’humour, pas d’informatique. Tapez SOPA sur Google, puis laissez-moi dire des niaiseries. Au fait, Google, Facebook et Wikipédia, pour ne nommer que ceux-là, sont contre cette loi.

Faut comprendre la rage. Une fois que tu goûtes assez longtemps au gratuit, peu importe le service, avantage que tu croyais acquis, dur, très dur, de reculer. Peu importe l’âge. Ici, on parle plus des 15-25 ans qui chialent. Mais essaie voir d’enlever à Denis, 49 ans, son brake de 15 minutes. Ou à Nicole, 54 ans, sa machine à café dans la cuisine.

«QUOI!!! Comment ça, pu de café? Non, mais ça a-tu du bon sens!» Occupy the kitchen! Des pancartes FREE THE COFFEE! Nicole qui se fait poivrer les yeux. Denis arrache son t-shirt Che, se protège les yeux avec et frappe le gardien à coups de brocheuse.

Qu’est-ce tu veux. On est comme ça. On aime pas ça reculer. Je l’ai déjà dit. À mon humble avis, un adulte, c’est un enfant qui a le droit d’acheter des cigarettes. On est conditionnables. De notre naissance à notre mort. Viens pas enlever nos conditions, on devient mauvais. La machine à café dans cuisine, touche pas à ça. L’internet libre, touche pas à ça. C’est aussi simple que ça.

Les humains, on est comme des vampires en stand-by. Tant qu’on ne goûte pas au sang, nos canines restent rondes. Si une goutte de sang tombe sur notre langue, même par accident, c’est fini. On en voudra plus, et toujours plus. Et bonne chance pour nous faire revenir en arrière. Il y a toute une génération qui a goûté au sang de l’internet gratuit et libre. Tu ne peux pas leur enlever ça en pensant qu’ils ne vont pas mordre un peu.

Tsé dans la vie là.... il faut quand même être intelligent

Bon alors grand événement aujourd'hui! Je suis allée m'acheter un cellulaire (ou portable comme on dit en français)! Oui j'ai craqué... et c'est quand même drôle parce qu'à partir du moment où je l'ai eu dans mes mains, tout léger et lisse... on dirait qu'il y avait un poids qui s'est levé de mes épaules! En plus il est tout mignon avec un clavier et tout!! Oui oui je sais.... on est tous une bande de drogués et d'accros... Enfin, cette réalisation était un peu secondaire à côté du fait qu'avant de l'avoir dans les mains, j'ai dû galérer en esti!

Bon en commençant par le début... On était chez Carrefour avec Nanou (pas le centre commercial de Laval, mais la version française de Wallmart). Et après avoir fait les folles dans le magasin pendant une heure ou deux, on décide (par "on" je voulais dire "je") que la file était plus petite dans la caisse libre service. Et puis après tout, il faut être autonome dans la vie, non? Bon après une dizaines de minutes où j'essayais de découvrir s'il fallait sélectionner Carte Bleue (aka carte débit) ou Visa sur l'écran (parce que la différence entre les deux est relativement floue... dans le sens que c'est écrit Visa sur ma carte débit... enfin!), on sort finalement du magasin avec tous nos achats. Une fois à la maison, youpi allons voir comment fonctionne mon nouveau téléphone! Incearca drace daca poti comme on dit en bon roumain... dans le sens que c'était plus facile à dire qu'à faire. Vous savez, quand on achète des trucs, ils viennent dans des boîtes qui la plupart du temps sont en plastique. Bon je trouvais bien que le plastique de ma boîte était de très bonne qualité (un peu trop bonne pour quelque chose qu'on va jeter de toute façon). Alors une fois venu le moment de la vérité... comment on fait pour ouvrir la foutue boîte de plastique? Le plastique était TRÈS épais, donc utiliser des ciseaux ou des couteaux était hors de question et on voyait bien que la boîte était faite pour s'ouvrir... mais comment? Je tire de tous les coins, je pousse, je réfléchis... rien à faire. Alors, solution à toutes les problèmes, je vais voir Jean-Pierre (le mari de Nanou). Il me regarde. Il me demande: "C'est le portable que tu t'es payé? Et ils t'ont pas enlevé la boîte de sécurité au magasin?" C'est dans des moments comme cela qu'on se demande si on doit rire ou pleurer. Je me disais bien qu'ils faisaient pas du plastique si épais juste pour un emballage... Enfin, Jean-Pierre a réussi à casser la boîte et à récupérer mon précieux téléphone :D.

Et je pensais que mes aventures finissaient là. On dirait bien que non. Ce soir, il y avait une pièce de théâtre qui jouait proche de la maison et qui était inspirée des oeuvres d'Umberto Eco et moi j'étais décidée d'y trainer Nanou. Bon on était pas sures de pouvoir y aller parce qu'on n'avait pas réservé des places à l'avance alors on avait un peu peur que ce soit complet. On arrive à la salle. Le stationnement était un peu vide. Bon, on était aussi 30 minutes à l'avance. On arrive à l'entrée. Encore vide, sauf pour deux dames. Elles se lèvent en nous voyant et elles viennent nous accueillir à la porte (mon dieu, qu'elles sont chaleureuses dis donc!). "On est désolées, mais le spectacle est annulé à cause d'une histoire de droits d'auteur. On a été contactés il y a 2 jours par la maison d'édition d'Umberto Eco et on a été informé qu'on n'avait pas le droit de jouer la pièce et qu'on devait payer des frais de droit d'auteur si on voulait aller de l'avant avec le projet." Mouin. J'imagine que ça leur est jamais venu à l'esprit de contacter l'auteur pour voir s'ils pouvaient faire une pièce de théâtre sur ses livres... Vous savez, JK Rowling n'a jamais reçu d'argent pour les films que Hollywood a fait sur Harry Potter... Gahh!

Bref, tout ça pour dire que dans la vie, des fois, il faut être intelligent!

Saturday, February 11, 2012

The sound of music

Bon alors ce soir j'ai fait l'impensable... je suis allée voir un concert de jazz! En 8 ans de festivals de jazz à Montréal, j'ai jamais assisté à un seul concert, mais après un mois en France je me plie à la pression sociale. Bon le mot est un peu fort peut-être (plus du genre, Nanou voulait y aller et moi j'ai dit oui), mais le fait reste que j'ai assisté à un concert de jazz.

Alors, les impréssions? Bon alors je vais commencer avec le plus frappant... le maître d'orchestre qui portait des pantalons noirs comme il se doit, avait un FIL BLANC qui pendait sur sa jambe!! Mais le fil, il venait bien de quelque part! Alors si on regardait plus attentivement (parce que bien sûr, on n'avait rien d'autre à faire), étant donné que le maître d'orchestre, il tourne souvent le dos au public, donc disais-je, en regardant plus attentivement, on voyait qu'entre ses deux fesses, il y avait une partie cousue avec du fil blanc (non mais je rêve?? du fil blanc pour des pantalons noirs? sur les fesses??!!). Et le top du top c'était qu'à un certain moment... il chante... en anglais! Pffuahahaha!! C'est mignon des Français qui chantent en anglais. Ils gardent leur accent haha! Bref, je suis mechante, mais je dois avouer que je me suis bien marrée pendant ce moment de la soirée.

Sinon c'était très bien. Bon, il y avait des chansons sur lesquelles j'avais un peu envie de dormir (surtout quand ils jouaient des blues...), mais il y avait une chanson de Santana... ahlala!! Le solo de guitarre! Domage que le guitariste avait une moustache et était un peu trop vieux pour moi, parce que sinon... De toute façon, j'ai toujours trouvé qu'il y avait quelque chose d'incroyablement sexy à propos d'un mec qui joue de la guitarre. Bon ça depend aussi qu'est-ce qu'il joue, mais là on rentre dans trop de détails.

La dernière chose que j'ai à dire c'est que Nanou m'a bien fait rire au début de la soirée. Elle se tourne vers moi et elle me dit: "On dirait que t'as fait une touche". Et à moi de répondre: "Une touche de quoi?". Bon une fois qu'elle a bien ri de ma gueule, elle me dit que c'est une expréssion pour dire que j'ai fait de l'effet et que le petit jeune (bah il devait quand mm avoir 19 ans... enfin, je pense...) arrêtait pas de me regarder. Hahaha!!! Bon il n'était pas trop mon genre le gars, mais c'était quand même mignon. Par contre, il n'est même pas venu me parler à la fin du concert le connard! Il y avait bien une partie où les musiciens se melaient au public pour prendre un verre (de jus!), mais il est partie en flèche! Bref, tant pis pour lui!

Bref, tout ça pour dire que c'était sympa. ET en sortant avec trois dames de plus de 70 ans, je suis quand même rentrée presqu'à minuit! Quand on pense qu'il y a 2 ans, mes parents auraient flippé si je rentrais à cette heure là... Ah que la vie est ironique...

*Oui je fais exprès d'utiliser tous ces mots français*

Sunday, February 5, 2012

C'est ça qui arrive quand on parle trop tôt

Bon hier je parlais avec mes parents et je leur disais qu'une chance qu'il n'a pas encore neigé. J'apprendrai jamais à fermer ma trappe... Alors voilà, je me reveille ce matin, je tire les volets avec le cerveau encore à moitié endormi et que vois-je?

Je vais être honête, pendant quelques secondes je croyais vraiment que je voyais pas bien.

Non, mais sans blague, c'est super joli! La neige est très belle quand elle vient de tomber (donc elle n'est pas encore toute brune, fondue et/ou gelée et généralement degeu) et quand t'as pas besoin de faire de l'effort physique simplement pour marcher dedans.

Ça me fait quand mm rire parce que ce soir ils ont passé exactement 20 minutes (j'exagère même pas) aux nouvelles à parler de la neige qui est tombée et de la période du soi-disant grand froid. Bon je réalise bien que l'hystérie générale ne concerne pas tant que ça la quantité de neige qui est tombée ou la temperature en tant que tel. C'est plus l'impact que ça a sur la vie des Français. C'est à dire qu'ils sont pas équipés pour survivre avec de la neige ou des temperatures negatives. Donc ils capotent et le moindre flocon les paralyse... Bref, moi je ris, mais je sens que demain matin je vais pleurer. À suivre...

Saturday, February 4, 2012

Le mois des crêpes

Jeudi 2 février c'était une fête qui sera à partir de maintenant à tout jamais marquée dans mon calendrier! Le Chandeleur! WTF? Une fête Chrétienne? Je vois déjà vos visages incrédules. Eh bien mes chers amis, comme les enfants attendent Noel avec impatience non pas pour la naissance du Christ, mais pour les cadeaux, moi j'attendrai le Chandeleur non pas pour sa significance réligieuse (que je ne connais pas d'ailleurs), mais pour les crêpes! La tradition française dit que pour le Chandeleur on doit manger des crêpes! Eh bien, moi je suis toute pour la conservation des traditions haha!

Je n'ai pas encore assez de données pour en faire une théorie, mais la tendance jusqu'à maintenant poite vers une bouffe spécifique pour chaque mois. Le mois de janvier c'était la galette des rois qui est une tarte faite en feuilleté avec une pâte d'amandes et qu'on mangeait pour célébrer la fête des Rois Mages (le 2e dimanche après Noel) avec tout le tralala de la couronne et de la fameuse fève. Février c'est les crêpes. J'ai hâte de voir qu'est-ce qu'il y aura en mars hahaha!

*Yeah I have a rat face in the picture, but do admire my awesome skills!*

Thursday, February 2, 2012

Isolation... diagrams

On est dans une période qu'on appelle de grand froid. Moi je comprends pas trop. À -10 degrées, oui il fait froid, mais pas au point d'en faire tout un plat... depuis une semaine on ne parle que de ça!

Mais finalement, c'est pas vraiment ça qui me trouble le plus. Ce qui me trouble c'est toute la constitution socio-thermique derrière ça. Tu mets le chauffage à 22 degrées, mais il n'est pas capable de se rendre plus loin que 19. Le matin tu te reveilles et tu vas dans la cuisine pour te laver les mains et... que dale! Le robinet est gelé (et pas dans le sens plaisant). Et ne pensez pas que c'est moi qui vit dans un trou et que je suis une exception! Mes collègues au travail se plaignaient de la même chose. Même que ma chef est allée aussi loin que le fait de dormir dans le même lit que ses enfants pour essayer de se rechauffer un peu! Et elle n'est pas paumée la fille. Elle est bien capable de se payer un système de chauffage comme du monde. À moins d'habiter dans un 30 metres carées, tu te retrouves obligé de dormir avec 5 couvertures la nuit.

Alors voilà ma théorie: l'isolation dans les maisons c'est du bidon. Les Français étant habitués à des temperatures moyennes de 0 degrées Celcius, n'ont pas encore perfectioné les hautes techniques isolationnistes. Oui c'est très beau les grandes fênetres et les velux (fênetres sur le toit), mais si on veut garder la chaleur à l'intérieur c'est pas top comme diraient les Français. Et on dirait que le thermopan ne s'est pas encore rendu jusqu'à ici. On l'a en Amérique, on l'a en Roumanie, mais, dans sa migration, il a sauté la France. Et bon, le fait que les maisons soient faites en briques n'aide pas les choses. Ah maison en bois! C'est seulement lorsque tu es loin que je t'apprécie vraiment!

Ceci étant dit, j'ai bien la poisse depuis que je suis ici. J'ai eu des controleurs dans les bus et dans les stations de train à peu près une fois par semaine (pendant que mon amie Cassandre les a vus environ 3 fois en 2 ans). ET je me retrouve avec toutes les extremes de temperature. Autant que j'ai apprécié les 10 degrés qu'on a eu pendant ma première semaine ici, autant je trouve desagréable l'expérience des -10 degrés. Et pour me consoler, on arrête pas de me dire "mais tu sais, c'est pas normal d'avoir des temperatures comme ça ici". Oui merci, je m'en rappelerai la prochaine fois que je verrai le signe "À cause de la période de grand froid, les toilettes sont temporairement fermées" dans les stations de train.

Vous avez remarqué que j'apprends le français? :D Pas le québécois, mais le français! Je pense qu'à la fin de mes 6 mois je ferai une section dictionnaire québécois français hahaha!